Maurice ELIOT (1862-1945)
Printemps
1897
Lithographie publiée dans l’Estampe moderne en septembre 1897
40,2×30,3 cm (feuille) / 50×40 cm (encadrée)
Signée en bas à gauche dans la planche « Maurice Eliot »
Timbre sec de l’estampe moderne en bas à droite
La lithographie est vendue encadrée.
Remise en mains propres sur Paris ou Boulogne-Billancourt / Frais d’envoi à ajouter pour livraison
200 €
Cette allégorie du printemps, sous les traits d’une jeune femme aux cheveux d’or portant un panier de fleurs roses, est accompagnée des deux premières strophes du poème Aubépine d’Armand Silvestre (1837-1901) en serpente :
« Tout le long du chemin, aux cimes des buissons
L’aubépine a neigé ses fleurs de neige rose,
Où le vol caressant des papillons se pose,
Où se piquent les doigts amoureux des garçons.
Tout le long du chemin s’égrènent les chansons
Dont le Printemps joyeux chasse l’hiver morose.
Sur la rose en bouton, sur la lèvre mi-close,
L’haleine des baisers met les mêmes frissons. »